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LA MORT DE CESAR | ![]() |
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César |
Dans
la nuit du 14 au 15 44 av J.C., l'épouse de César fait
un songe: elle rêve de
son mari mort, transpercé par de
nombreux coups de poignard. Elle se réveille en sueur en le
suppliant de ne pas aller au Sénat, mais il s'y rend tout de
même. Dans la rue, un esclave lui tend un papier. Mais
César le prend, distrait, sans le lire. Lorsque César
entre dans le Sénat, il se fait assaillir par de nombreux
membres qui lui assènent 27 coups de poignard. César
tente de résister mais s'abandonne aux coups en reconnaissant parmi ses assassins,son fils adoptif, Brutus et il lui crie alors :
"Tu
quoque mi fili ! (toi aussi mon fils ! )". César fut
jeté au bas de la statue de son ancien rival, Pompée.
Il serrait dans sa main le papier qu'un ami lui avait envoyé, lui conseillant de ne pas se rendre au Sénat et lui fournissant la liste des conspirateurs. Ainsi finit un des plus prestigieux hommes politiques romains. |
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Auguste | |||||
Tibére | |||||
Caligula | |||||
Claude | |||||
Néron | |||||
Galba | |||||
Othon | |||||
Vitellius | Une pièce représentant César. | ||||
Vespasien | |||||
Titus | |||||
Domitien | |||||
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Tableau représentant la mort de César (peint par Vincenzo Camuccini). | |||||
Un extrait de piéce de Théatre. Shakespeare, Jules César, Acte III scène 1
Tandis qu'il s'asseyait, les conjurés l'entourèrent sous prétexte de lui rendre
hommage. (...) L'un des Casca le blessa par derrière, un peu au dessous de la
gorge. César (...) essaya de s'élancer en avant, mais il fut arrêté par une
autre blessure. (...) Il fut ainsi transpercé de vingt-trois blessures, n'ayant
poussé qu'un gémissement au premier coup, sans une parole ; pouratnt, d'après
certains, il aurait dit à Marcus Brutus qui se précipitait sur lui :"Toi aussi
mon fils". Casca,
s'avançant, le poignard à la main. Bras, parlez pour moi (Casca frappe
César au cou. César lui saisit le bras ; il est poignardé par plusieurs
conjurés, et enfin par Marcus Brutus.) . |
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